Où c'est caché le froid ? Ici la chaleur ne désemplie pas. C'est donc sous un ciel radieux et une moyenne de 25°que nous traversons l'automne......Il y a des conditions moins supportables c'est sûre.
Mais l'automne français manque quand même. Le bon froid sec qui brûle les lèvres et endolories nos mains. Et les odeurs aussi.
Donc à défaut de voir les couleurs flamboyantes de l'automne habiller les arbres, c'est dans le ciel que nous décidons de les retrouver.
Ressourcement garanti !
Donc à défaut de voir les couleurs flamboyantes de l'automne habiller les arbres, c'est dans le ciel que nous décidons de les retrouver.
Ressourcement garanti !
D'abord, il faut trouver le cadre idéal : Une petite balade entre voisin jusqu'à un parc traversé par une rivière pas trop loin de chez nous.
C'est un parc caché dans la forêt de bétons rouillés qu'est Taipei et survolé par une quatre voix....ça ne parait pas comme ça, mais c'est vraiment paisible. Très sympa. Ensuite on a plus qu'à se laisser aller.
C'est ce genre de fin d'après midi où on se sent bien, en harmonie entre le ciel et la terre.
C'est ce genre de fin d'après midi où on se sent bien, en harmonie entre le ciel et la terre.
C'est ce genre de moment qu'on savoure pleinement et qui nous rappelle à quelle point on a de la chance d'être ici !
C'est fou ce qu'un couché de soleil peut faire. Et ce qui est merveilleux, c'est que c'est universel !
Forcement dans ces moments on ne se sent plus de joie ! Alors, comment résister à ses petits canaris jaunes qui nous offrent leur dos......ainsi qu'à ces tobbogans bétonnés un peu dangereux ?
...
Enfin le soleil fini pas se coucher. Quand à nous, nous continuons notre chemin dont on espère que la fin est encore loin. Tient ! Je ne savais pas que l'automne avait la vertu de rendre les gens poètes.@_@
2 commentaires:
kikou les filles !!
chez nous je peux vous assurez que l'automne est bien la avec le froid les levres gercées et les arbres de tt les couleurs qui commencent a perdre leur feuille mais comme ce n'est pas la saison de l'année que je prefére je vous envie un peu avec vos 25°^^
je constate encore une fois que vous etes toujours de grands enfants et ca fait plaisir a voir hihi
bon et bien j'attend avec impatience un nouvel article (j'espere qu'il arrivera bientot sans vouloir vous pressez^^)
bises
élise
Put... de blog! J'ai perdu mes codes. C'est la salade ds mon cerveau en marmelade. Je vous écris une longue bafouille et depuis une demie-heure je pétarade pour envoyer ma bafouille. Bref, je me retrouve avec mon chipine préféré mais ça ne m'a pas dit exactement la recette.Et ma lettre perdue. Bref! je recommence ma missive. Et vous constaterai que je suis toujours aussi douée pour la technique la plus primitive!!!!
On ne rit pas sinon je tire.
C'est sympa de faire des e-doubles qui n'en sont pas.
Je disais donc que ça me faisait un vrai plaisir de vous retrouver et de vous relire.
J'adore vos aventures de goûteuses de thé, de randonneuses émérites, d'amoureuses du silence, de photographes poétesses....
Car je voulais vous dire que je trouvais vos photos d'automne superbes. Qu'est-ce que le beau? Rien de prédéfini. Pas d'a priori pour le Beau. Le Beau s'est créé dans votre oeil qui a mis dans la petite boîte magique —clic clac— un moment lui aussi magique mais ordinaire somme toute: le coucher de soleil. Et vous nous donner de l'émotion et des images sublimissimes avec un paysage qui doit être au grand jour très banal et peut-être un peu moche. Mais vous fixer cet instant de douceur et de magie éclatante, celui où le soleil va disparaître en inondant le ciel d'or et parfois, vous l'avez déjà vu, en accompagnant le tout d'un coup de poignard qui ensanglante l'horizon. Ah c'est un pur bonheur. Continuez, continuez.
Nous, ici, aujourd'hui, on a un automne très automnal. Un grand classique de novembre , avec le toutim: de la pluie, un ciel qui reste plombé et notre coeur avec, un ciel qui respire pas la gaîté, et qui devient atroce comme un jour d'enterrement plein de tristesse quand on sort de cours à 18h10 et qu'on plonge ds le noir et la fin totale du jour, et qu'on a envie de rentrer pour s'entortillonner de moelleux, avec le chat qui chauffe le mollet de son poil couleur de soie. C'est d'autant plus morne que les illuminations de Noël ne sont pas encore ds les arbres de l'avenue Janvier.
Ché Passa?
Sommes-nous trop tôt? Les petites lumières miraculeuses vont -elles briller seulement à partir du 1er décembre? Ou les agents de la ville sont - ils découragés par les milliers de sansonnets dits étourneaux en général qui s'abattent sur les branches le noir venu, dans un vacarme effroyable et qui merdouillent tout. Adieux les rêves de lumière! Les petites bêtes crocrotent tout.
J'ai eu la malencontreuse idée de garer ma torpedo sous un arbre avant un conseil de classe de 18h30. Déjà tu mets le pied par terre, sur un sol humide et rendu glissant par la fiante malodorante de la gente ailée. Donc tu fais gaffe. Mais au retour tu retrouves ta voiture repeinte à la merdre d'oiseaux avec une telle couche que tu te demandes si tu pourras ouvrir ta portière. Bref tu ne sais plus par quel bout la prendre. Ce n'est pas ce soir là qu'on va te la voler. Le feu peut-être mais pas le vol!!!!
Ah j'adôôôôre les petits zozios!!!!
Bon mes poulettes taïwanaises, je resterais bien un peu avec vous pour vous dire des choses de notre voyage en Chine, mais, mais, mais,....je dois me livrer à mon activité préférée. J'ai dit? Correction de copies. BEURK, BEURK , BEURK!!! Je HAIS LES COPIES!!!
Je vous embrasse.
Chanchan
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